Yuja WANG khatia BUNIATISHVILI Lola ANASTAVOVA - (dés)habillées comme des prostituées pour jouer du piano classique ?


Publié le 5 Janvier 2017

Yuja WANG  khatia BUNIATISHVILI  Lola ANASTAVOVA - (dés)habillées comme des putes pour jouer du piano classique ?
Yuja WANG  khatia BUNIATISHVILI  Lola ANASTAVOVA - (dés)habillées comme des putes pour jouer du piano classique ?
Khatia Buniatishvili pianiste ou pornocrate ? Est-il utile de montrer son cul pour jouer du piano ?
Yuja WANG  khatia BUNIATISHVILI  Lola ANASTAVOVA - Piano classique et musique classique : ce nouveau produit de marketing ? Sexe frou-frou ego narcissisme
Habillées comme des prostituées pour jouer du piano ?
Piano classique et musique classique : ce nouveau produit de marketing ?
Sexe et finance poses publicitaires devant les produits de la mondialisation
Indécence - sur-érotisation du corps par des pianistes "classiques" hystériques confondant sexe revue Play-Boy Fashion Magazine narcissisme ego avec musique classique :
Yuja WANG
khatia BUNIATISHVILI
Lola ANASTAVOVA
Et bien d'autres sur le terrain international.
Je viens de renoncer définitivement à ma vision de l'HommeProfond idéaliste, je me demande - si finalement - "idéalisme" ne serait pas purement et simplement le synonyme de "grande naïveté" ?
J'ai toujours élevé la musique classique au rang d'absolue idéalité. Idéalité sacrée incarnant la pureté cristalline de l'humanité ainsi que la soif de la beauté du monde. La transparence. L'art les valeurs le progrès. Le sauveur de la société. La foi ainsi que l'admiration du Cosmos. En un mot - la sublimation -. Je viens de me rendre compte qu'elle faisait partie du grand creuset de la prostitution mondiale, comme le reste de la famille humaine, si détestable.
Putasserie, quand tu nous tiens !
Ou la scène moderne produit de marketing : cette grande putellerie.
Banalisation et vulgarité.
Je savais que Dieu n'existait pas.
Mais je savais aussi que Dieu était incarné ailleurs : dans les coccinelles, les fleurs aux odeurs entêtantes et têtues. Les animaux merveilles de la création tant nantis d'intelligence ainsi que pourvus de sensibilité. Notre système digestif si bien organisé. La pertinence abstraite des calamars. Quelques pommes si tavelées et pourquoi pas certains pianistes... Certains pianistes qui - dans leur mission d'interprètes - nous confient Bach Chopin Beethoven et qui, à notre époque, certaines sont devenus quelque peu incertains...
Musique classique, musique sacrée, sacrée musique, sacre et musique qui au-delà d'arracher l'âme nous témoignent la progression de l'Homme dans de concept de Culture donc de Civilisation. Grandeur ou élévation. Tirer l'Homme par le haut, quitter par fragments le cerveau reptilien avec une animalité partiellement probable... qui, si elle nous incarnent entièrement nous permet d'alterner - selon le lieu et les instants - entre les concepts de Nature et de Culture.
Il existe des vêtements pour l'intimité comme il en existe d'autres pour la vie sociale ou plus loin encore pour la vie musicale.
Muse et sacrum.
Par ailleurs des pianistes classiques comme Yuja WANGKhatia BUNIATISHVILI , Lola ANASTOVA et sans doute quelques autres ont perdu - ou peut-être jamais rencontré - la noblesse d'âme de l'interprète classique.
En effet, ces pianistes confondent music-hall et musique "sérieuse". 
Egéries converties au Satanisme avec le Marquis de Sade comme fantasme inavouable.
L'importance de la mise en scène, de l'ego, du narcissisme sexuel outrancier. De la névrose hystérique au sens psychanalytique du terme. De la paillette comme feu de paille et de l'aine suintante voire odorante... Du dos nu délivrant la naissance du fessier. Du décolleté proposant des seins à dessein. De robes échancrées jusqu'au tout haut de la cuisse, lieu où l'essaim frémit. Ou de robes tellement courtes qu'il est impossible de s'asseoir ou de se trémousser pour tenter de "cacher" sa petite culotte volontairement dissimulée...
On peut se demander - légitimement - ce qui est important pour ces interprètes ? Montrer leurs atouts sexuels, leur podex en érotisation maximale ou bien servir, resserrées dans leur humilité, la richesse créative et sensible de tous nos compositeurs - mémoire de l'humanité ?
Hystérico-phalliques sur le plan psychanalytique et sur le plan de la virtuosité - ces pianistes comme des dizaines de milliers d'autres de notre époque - possèdent une puissante technique sans faille. Le niveau de la technique ainsi que son apprentissage ayant évolué avec les années mais aussi la qualité supérieure de tous les pianos modernes. Débarrassées des problèmes relatifs à l'instrument, elles sont aussi - probablement - de bonnes musiciennes.
Par ailleurs, les grands interprètes du passés sont tous d'accord pour dire que les générations actuelles ainsi que les quelques précédentes jouent quasi tous - tout - trop fort et trop vite. C'est le problème des pianistes techniciens-virtuoses : se servir de la musique, se servir des oeuvres des compositeurs pour se mettre en valeur au détriment de la musique. De la sensibilité ainsi que de ses qualités interprétatives. Dans la décadence de l'humanité non seulement les pianistes jouent trop vite et confondent le but avec les moyens pour se mettre narcissiquement en valeur. Mais en plus - comme si cela ne suffisait pas à la déchéance, certaines jouent quasi nues...
Il y a bien sûr - dans le psychisme profond de ces trois pianistes - une immense confusion des genres.
Dès que l'on monte sur scène pour proposer un moment d'intense sensibilité en interprétant les oeuvres du grand répertoire, on se doit d'être le plus "absent" le plus transparent possible.
On est sur scène pour servir l'oeuvre. Pour respecter ainsi qu'honorer la mémoire du compositeur. Compositeur qui a confié en confiance confiée sa richesse à l'humanité toute entière.
L'équation étant : l'interprète est tout d'une pièce au service de la musique. Dans le cas de Y. et de K. et de  L. c'est tout le contraire qui existe. Y. et K. et L. se servent, utilisent voire manipulent la musique pour se mettre, elles-m'aiment, en scène ainsi qu'en représentation narcissique et ostentatoire. D'attirer l'oeil sur la cuisse offerte, distraire et enfumer, est un autre métier que de séduire l'oreille de l'auditeur - cet amateur de purs sons -.
Regardez plutôt la finesse ainsi que l'absence totale de proposition sexuelle ainsi que narcissique d'une immense interprète comme Hélène GRIMAUD. Ces tenues toujours d'une grande élégance sont entièrement désassortie de vulgarité comme nos trois égéries - qui à contrario de l'histoire - manquent entièrement de source, de sourcement ou de... ressourcement.
Aussi cette névrose séductionnelle semble être typiquement féminine. En effet je ne vois jamais des pianistes classiques jouer en short échancrés, en tenue de body builder - exhibant - cuisses muscles pectoraux et nombrils pour interpréter Mozart ou Debussy...
En conclusion, il reste à savoir si Yuja WANG - la décadence ainsi que le déclin dégénérescent de nos civilisations, la superficialité ainsi que le nivellement par le bas de notre monde en panne  - nous proposera pour ses concerts prochains - un strip-tease entre deux sonates de Beethoven...
Ou bien une photo légère très légère voire nue, pliée en quatre, à l'instar d"une certaine revue bien connue, donnée en cadeau avec le cd des Préludes de Debussy ?
Photo à déplier en quatre et à encadrer pour installer au dessus du piano - bien entendu -.
Pour les jours où l'inspiration nous manquerait entre deux concertos...

Débat psychanalytique
  • L'hystérie - structure névrotique - entre beauté sublimée et insigne excès

  • Hystérie narcissique en musique via l'étalage sexuel de quelques pianistes classiques Yuja WANGLola ASTANOVA et Khatia BUNIATISHVILI.

  • Pour ces pianistes virtuoses  - casser les codes en jouant dénudées à la limite de l'habit de plage, du rouge à lèvre en couche permettant plus une invitation à la valse qu'une prestation des sonates de Haydn; les cheveux volontairement dans le visage invitant plus au jeu de séduction qu'au piano. Du charme beauté glamour à l'excessif. 

Sur le versant positif :

A la différence de la structure psychotique, l'hystérique fait partie de la structure névrotique et, malgré certaines apparences d'éclats, d'éclatements, de dispersions ainsi que de confusion(s) n'est pas définie comme étant une psychose (frontière ?). Sur "le trottoir d'en face" de celle-ci se trouve la structure névrotique obsessionnelle. L'hystérique - (mâle ou) femelle - vit d'abord sa vie comme un grand théâtre dans un grand décor (dé-corps) sur une scène sur-dimensionnée -. Le JE de l'hystérique doit être vu, connu et reconnu aux yeux de tous pour solidifier un Moi vacillant dû à un manque d'amour réel ou ressenti. Le Complexe d'Oedipe est mal intégré et, il y a un refus de se détacher du père. On remarque une immaturité affective et des troubles de l'identité sexuelle. Crier et briller. Et surtout ETRE. Ou tenter d'être. Le corps de l'hystérique (couleurs voyantes et claironnantes, vêtements choisis dans l'ostentation ou hors-normes, coiffures décalées, chaussures, ongles, bijoux, voiture, maison, éventuellement tatouages, autres...), a pris la place d'un phallus pénétrant social. Briller, clignoter comme un sapin de Noël pour être remarquée à tout prix. Montrer-être vu(e). Cependant bien "qu'offerte" comme objet sexuel potentiel via l'extrême érotisation de son corps, l'hystérique lance des promesses (appel de phares) qu'elle ne peut pas tenir car bien souvent, l'hystérique fuit la sexualité génitale. Et quand elle se donne enfin - car cela arrive - "elle peut avoir de la jouissance sans pour autant investir son être; ainsi l'honneur est sauf." (in J.-D. NASIO, L'Hystérie ou L'Enfant magnifique de la psychanalyse).

Incarnant une fixation au phallus du père, l'hystérique doit "pénétrer" la mère symbolisée par la sphère sociale - le public, la mère-public - (séduire la mère). Extraversion, exagération et théâtralisme sont pour les hystériques une façon d'exister. Et, séduire à tout pris - toute la mère -. L'hystérique - par l'érotisation ainsi que la dénudation provocante de son corps - va chercher l'autre en faisant des promesses sexuelles qu'elle ne tient pas. La cause ? Un complexe d'Oedipe mal intégré ainsi qu'un refus inconscient de se détacher du père (l'hystérique est le phallus du père). La peur de la sexualité consiste à érotiser complètement son corps et le transformer ainsi en zone érogène.

Fuyant le sexe, l'hystérique traduit sa vie en vaste théâtre en posant la question :
"me vois-tu ?"

Sur le versant négatif :
Par ailleurs et, sur le versant négatif, à propos des pianistes classiques (dé)vétues et exhibées comme des péripatéticiennes (cf. les photos plus bas) je reste complètement dubitatif. Globalement, la théorie psychanalytique sur l'hystérie reprise au paragraphe plus haut est également la même pour ces pianistes dénudées. Plus loin, dans le cas des trois pianistes décrites ci-dessous j'ai de la peine à comprendre ce mélange vulgaire ainsi que provoquant de cette mixité de la musique classique et de tenues aguichantes pour bordels et néons roses ? On est dans la confusion totale - dictature du marketing - où l'on mélange érotisation à l'excès, pré-pornographie, piano, musique, sexe, narcissisme déplacé. L'hystérie, ici, est vécue dans son acception névrotique la plus agressive. Inconsciemment, ces pianistes sont des cas pathologiques relevant de la psychanalyse plutôt que du piano. Elle se sont sans doute trompées d'orientation ?
Ou bien, il y a saut qualitatif qu'elle n'on pas été capable de franchir ? Au point de devoir vivre cette blessure de l'hystérie, ce niveau de psychopathologie narcissique dans un domaine (la musique classique) où une sublimation aurait pu servir leur cause avec plus de pertinence élégante, noble et civilisatrice. Je remarque aussi que - les hommes - (tous et faibles) sont complices autour d'elles. Bien sûr, dès qu'il y a un morceau de "viande" à déchiqueter, les hommes ne sont pas très loin...

Je ne savais pas que la musique classique était une histoire de fesses, de cuisses offertes, de fétichisme des talons-hauts, de chevelures décalées ou de magazines aux photos autant brillantes que superficielles ? Ou de sites internet ostentatoires. Ou de photos posées de pianistes comme pour un magazine de mode ? Yuja WANG, pianiste chinoise, est aussi très atteinte dans cette dérive narcissique et ostentatoire avec son étalage sexuel - cf. photos plus-bas dans l'article. Ainsi que sa collègue russe qui elle, atteint les sommets de l'abject à propos du mélange sexe, fétichisme, sado-masochisme et piano -, Lola ASTANOVA pour ne pas la nommer. Et plus loin encore, une autre géorgienne, Khatia BUNIATISHVILI qui n'est pas en reste pour (s)exposer seins et popotin.
Epoque triste, décadente autant que médiocre dans laquelle le piano (le phallus du père, la puissance du musicien compositeur ou interprète - un des repères incontournables de la puissance civilisatrice ainsi que culturelle de l'Homme) est devenu, semble-t-il, le faire-valoir de petites gourdasses en mal de succès ou de combat féministement déplorable.
Issu de la musique classique et, même vers le jazz ou autres musiques (blues, tango, chanson française à textes de qualité) qui ont grandi nos civilisations, je ne suis pas adhérent de tout cet étalage relevant plus du nivellement par le bas inhérent à la mondialisation, à la perte des valeurs d'une improbable "civilisation" que de l'expression musicale noble.

Je pensais que la musique avait à voir avec le sacré, qu'elle avait à voir avec la profonde beauté ainsi que le dépassement de l'Homme. Qu'elle était une manière de rejoindre "Dieu". Je veux parler de notre Dieu Intérieur.

Ici nous sommes sur le versant violent de l'hystérie. Ce n'est pas tant montrer son sexe qui est grave, bien au contraire. C'est beau un sexe. C'est bon aussi quand c'est partagé avec complicité et sensualité. J'aime beaucoup le sexe de la sexualité ainsi que les tenues sexy qui chatouillent les yeux des hommes. Mais il y a les lieux et les heures pour cela. Ici c'est plutôt le leurre mis en avant au détriment du chemin musical.  Ici, c'est se servir de la musique pour se montrer, pour s'étaler comme un objet offert. C'est distraire et enfumer le public avec son fumet femelle, c'est reléguer la musique au second plan pour se mettre en valeur soi que je trouve pour le moins curieux.

C'est confondre l'essentiel avec l'accessoire.

C'est comme si l'on voyait un maçon, un plombier ou un soudeur, en tutu rose avec une plume dans le cul, sur un chantier de construction. Une simple salopette sera plus seyante pour qu'il effectue son travail efficacement. Ces pianistes montrent tout simplement leurs culs, elles n'exaltent pas la musique. Mélangeant musique noble, salon de coiffure, salon de maquillage, défilés de mode, sexualité, fétichisme, ostentation et satanisme. Les Lady Gaga de la musique classique sont belles, et bien gagas. C'est du marketing de bas étage. c'est :

"Que suis-je pour toi ?"
et
"Me vois-tu ?"
et
"Suis-je assez visible ?"
et
"Suis-je belle ?"
et
"Suis-je baisable ?"
et
"Suis-je aimable ?"
et
"Je t'en supplie, il faut que tu me remarques, sinon je meure ?"

Plus tard, après avoir écrit cette article, j'ai lu que le psychanalyste Jacques LACAN disait à propos de l'hystérie :
"Que me veux-tu ?"
"Que suis-je pour toi ?"
"Quelle est ma valeur ?"

L'être humain ne risque pas de rencontrer la beauté ascensionnelle du concept de civilisation tant qu'il se battra avec des paramètres indéfectibles comme l'ego, la vanité ainsi que l'image narcissique psychopathologique de lui-même. C'est sans espoir d'élévation et de dépassement.

Patrick FRASELLE
psychanalyste-psychothérapeute et pianiste classique, jazz, blues, tango argentin - compositeur - improvisateur - professeur de piano - pédagogue et ergonomiste spatial du clavier géométrique différencié du piano.

Patrick FRASELLE
pianiste - psychanalyste
  •  
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    Musique Les pin-up du classique

    Sur les pochettes de disque, L’ÉROTISATION des violoncellistes, pianistes ou CHANTEUSES LYRIQUES, photographiées dans des poses lascives, se généralise. Glamour, marketing ou sexisme? Enquête




    Regardez comme elles vous regardent. Pour décrire la façon dont certaines musiciennes classiques se donnent à voir sur les couvertures des disques, ne faudrait-il pas toute une sémiologie de l’aguicherie ? Une voluptueuse paradigmatique de l’épaule nue, du décolleté, de la chevelure sauvage, du regard appuyé, des paupières extatiquement closes, des reins cambrés, de la jambe exhibée, de la main abandonnée, voire de l’autopalpation
    – sinon de l’autoattouchement ? Apothéose du satiné et du transparent, cette énergétique de l’agacerie serait-elle destinée à stimuler un public masculin vieillissant? Selon les chiffres communiqués par Alain Lanceron, président d’Erato Warner Classics, l’acheteur potentiel de disques classiques est à 60% un homme, et cet homme est quinquagénaire.

    Pour dénoncer cette érotisation des musiciennes classiques, le pianiste Patrick Fraselle, sur son blog, stigmatise rudement « l’hystérie narcissique en musique via l’étalage sexuel de quelques pianistes [comme] Yuja Wang, Lola Astanova et Khatia Buniatishvili ».

    « C’est d’une vulgarité immonde », vous dit une violoncelliste en contemplant sur une couverture de disque la pianiste italienne Vanessa Benelli Mosell, longuement gantée de cuir rouge.
    Le sujet amuse la pianiste Florence Lafitte, qui forme avec sa soeur jumelle, Isabelle, le duo Lafitte. « C’est l’éternelle bataille du pur et de l’impur. Face à de telles couvertures, la question est de savoir s’il y a de la musique là-dedans.

    Je me souviens du chef d’orchestre Emmanuel Krivine qui disait à propos de cette érotisation des musiciennes classiques : “On ne voit plus que des cheveux !” On pourrait parler d’un syndrome porno, ou disons, plus joliment, d’une parade amoureuse. Sur scène, on voit des départs de seins, ou pas de soutien-gorge du tout ! Ça en devient drôle. » La musique, une cosa mentale montée sur Louboutin ? « En musique, l’extase naît de la sublimation, non d’une matière charnelle ostentatoire. On vient de se marier et, la nuit de ses noces, on regarde une cassette porno : c’est à peu près l’impression que ça me donne. Comment l’apprentissage de la musique, qui est aussi une éducation émotionnelle et culturelle, peut-il descendre à cette séduction à la truelle ?

    Mystère. Il y a aussi des exceptions comme Khatia Buniatishvili, pianiste extraordinairement douée. Elle, c’est Marilyn Monroe. Elle n’y peut rien. Elle est comme ça. Même si elle avait les cheveux gras, elle serait complètement olé-olé. »
    La parole est à la défense. En écoutant la Géorgienne Khatia Buniatishvili, vous comprenez avec mortification que le sujet même de votre article n’est pas exempt de sexisme. « J’assume le côté “femme glamoureuse”,
    comme on dit. C’est la modernité. Avant, une féministe devait s’habiller comme un homme pour mettre en avant son intellect. Aujourd’hui, elle peut le faire dans une jolie robe. Mais il y a évidemment une forme de sexisme à parler de la robe de la musicienne plutôt que de son jeu », dit-elle avant de préciser que son « styliste » n’est autre que sa mère, car elle-même « déteste faire du shopping » : « La vraie nudité, dans la musique classique, on ne la trouve pas sur les couvertures de disque, mais sur scène, dans la sincérité, la nudité émotionnelle de l’interprétation. »
    “L’EAU M’ARRIVAIT JUSQU’AUX CUISSES”
    Le sexisme, c’est donc parler d’autre chose que de musique. « Je me souviens d’un vague journaliste qui avait écrit que ma soeur et moi, nous couchions ensemble », se souvient Florence Lafitte avec une consternation distanciée. « Moi, dans un article, j’ai eu droit à “une jolie Eurasienne en finale”, raconte avec un élégant dédain Marie-Josèphe Jude, concertiste et professeur de piano au Conservatoire de Paris. Les minijupes de Yuja Wang ne me gênent pas. Mais je me souviens de mon professeur Aldo Ciccolini qui me disait : “Il faut jouer derrière un paravent.” L’interprète doit se fondre dans la volonté du compositeur. » Adieu, paravents. « Aujourd’hui, la musique ne se suffit plus », vous dit Jude tandis que vous recherchez frénétiquement sur Google les mots Yuja Wang + érotisme, puis Yuja Wang + porno et que vous tombez sur le site pornographique XHamster. Ici, l’amateur de Rachmaninov peut admirer neuf photos en minirobe de la « sexy classical pianist » Yuja Wang, tandis qu’une certaine Martine, à tête de hautboïste, apparaît en pop-up pour lui offrir les dernières faveurs. Pavane pour un porte-jarretelles ?
    Au commencement, donc, était Yuja Wang, la pianiste chinoise, explique la pianiste Isabelle Lafitte, soeur jumelle de Florence. « Auparavant, le public n’avait pas besoin de ça. La pianiste Clara Haskil était laide. C’est Wang qui, en 2006, a cassé les codes traditionnels de la musique classique. Sur scène, dans les concours internationaux, elle jouait avec des longues robes fendues sur le côté, des décolletés vertigineux. On ne peut pas lui en vouloir : c’est une superbe musicienne. J’ai ma théorie sur les causes de ces couvertures érotisées. C’est plus difficile pour une femme. Les directeurs de festival, de salle de concert, les agents, les jurys de concours sont des hommes. » Dès lors, comment exister? Comment se distinguer dans un univers impitoyablement compétitif ? « Les musiciennes doivent faire face à une triple concurrence : les musiciens (les petites filles sont majoritaires au Conservatoire, mais les hommes sont plus nombreux à faire des carrières internationales) ; les musiciens homosexuels, qui eux-mêmes font face à l’adversité de l’homophobie en s’entraidant ; enfin, les musiciennes d’Asie, Chine, Corée, Japon, Taïwan, de plus en plus nombreuses, et qui travaillent beaucoup, et qui sont d’excellentes techniciennes. »
    Choisie ou subie, cette érotisation « touche beaucoup les jeunes femmes ». « Quand on le déplore, on passe pour réac ou ringard », dit la pianiste Vanessa Wagner, à laquelle ces « vieilles recettes » inspirent la même perplexité que « ces concerts qui dégueulent de fortissimo ». Elle ajoute ce paradoxal souvenir personnel. « Pour la photo de couverture de mon disque où je jouais Debussy [“Images & Estampes”], je devais marcher les pieds nus dans la Marne. Mais le jour de la prise de vue, il y a eu une crue. L’eau m’arrivait jusqu’aux cuisses. Imprévu qui a donné à la photo une sensualité accidentelle. A sa sortie, le critique d’un magazine a refusé de chroniquer le disque à cause de cette pochette. Il croyait sans doute avoir affaire à une pétasse. Six mois plus tard, après une écoute à l’aveugle, mon album était déclaré meilleur disque classique dans le même magazine. »
    “JE ME SOUVIENS D’UN VAGUE JOURNALISTE QUI AVAIT ÉCRIT QUE MA SOEUR ET MOI, NOUS COUCHIONS ENSEMBLE…”
    Patrick FRASELLE sur Youtube - Présentation du piano classique, jazz, blues et tango; aussi de l'improvisation au piano. Présentation de vidéos pédagogiques. Présentation d'enregistrements personnels d'oeuvres au piano. Playlists d'analyses et de critiques à propos des interprètes du piano dans différents genres musicaux. Playlist d'oeuvres d'interprétations ratées et massacrées en piano classique.
    Yuja WANG finira par poser pour Lui ou pour Play-Boy et à la place de la photo centrale nous aurons un cd de musique classique gratuit...
    Yuja WANG confond probablement le cul et le coeur...
    Yuja WANG confond probablement le cul et le coeur...
    Yuja Wang - la pianiste chinoise - qui aime jouer la musique classique à poil.
    Quelle façon indécente de jouer ! Bientôt WANG nous fera un strip-tease entre deux sonates...
    Rhapsody-cul en bleu.
    Chaîne You Tube de Patrick FRASELLE - cliquez sur le lien "1/7 Yuja Wang - Scriabin, Selections for Solo Piano" au dessus de l'image puis sur Patrick FRASELLE pour vous abonnez.
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    Tenues d'une pianiste classique russe... pour ses publications sur You Tube...
    Faire des prises de vues en montrant systématiquement son dos et son postérieur est-il foncièrement utile pour interpréter Chopin ?
    Lola ANASTOVA
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    Pianist Bond.
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    Le glamour de Kathia BUNIATISHVILI.
    Press-book piano pour producteurs ou impresario ou narcissisme superficiel pour revues de mode ?
    Je me sens frustré dans mon enseignement de pianiste : en effet aucun de mes deux professeurs ne m'ont confié qu'un rapport sensuel et érotisé aux cheveux était primordial pour parfaire son interprétation... Sinon sa version est très musicale, très sensible et très belle.
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